
Construire des arbres artificiels. Cette idée du géophysicien Klaus Lackner pour combattre le réchauffement global est une de plus louées. Il propose de construire des structures géantes semblables à des arbres, qui extrairaient le CO2 de l'air. Le problème serait de trouver où emmagasiner le CO2. Lacker propose de l'injecter dans les roches du fond des océans qui sont très poreuses. Selon ses calculs, sous l'eau et à très basse temperature, le CO2 ne remonterait jamais à la surface.
Les stratocumulus marins sont des nuages de très grande épaisseur qui contiennet des cristaux de sel et reflètent la lumière solaire vers l'espace. L'ingénieur Stephen Salter et l'astrophysicien John Latham travaillent ensemble dans la création d'une sorte de bateaux phantomes qui voyageraient sur les mers en émettant de la vapeur d'eau de mer avec le but de génerer ce genre de nuages de manière artificielle. Pour le moment, ils ne peuvent pas dire comment affecterait la création de ces nuages à certains écosystèmes.
L'Italie expérimente un véhicule anti-brouillard dans ses autoroutes doté d'un panneau lumineux avec l'inscription "FOLLOW ME", un radar qui permet de détecter des obstacles et un système de régulation de la vitesse pour ne pas dépasser les 50 km/h. Ce véhicule se chargera de guider les voitures lors des conditions de très faible visibilié.
Microsoft, General Electric, IBM; Texas Instruments, Motorola, Alcatel, Nokia, Siemens, Hewlett Packard et beaucoup d'autres poids lourds de l'industrie des nouvelles technologies ont commencé à investir en Inde qui pourrait ainsi devenir la nouvelle Silicon Valley. La raison principale est, bien sûr, économique. En Inde il y a 290 licenciés en ingénierie chaque année et leur main d'oeuvre est dix fois moins chère qu'aux Etats Unis ou en Europe. Pour ces ingénieurs, un salaire de 6000 euros par an est une fortune étant donné que l'Inde est un pays où 430 millions de personnes vivent avec moins d'un euro par jour.
Les fermiers de Letonie consomment depuis des siècles une varieté très éxotique de margarine. Dans son élaboration, ils utilisent les graines de cannabis et non pas la résine où se trouve le tetrahidridocannabinol, la substance narcotique. Le directeur de l'usine espère pouvoir l'exporter partout dans le monde, en louant les qualités de ces graines comme des anti-oxydants naturels.
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